Le comité de gestion de l’Institut Facultaire des Sciences de l’Information et de la Communication que chapeaute le professeur Kambayi Bwatshia a exclu, à travers un communiqué rendu public le mercredi 20 juillet, tous les étudiants n’ayant payé aucun rond comme frais académique pour l’année en cours.

Il se passe toujours quelque chose à l’Ifasic comme le dit une célèbre phrase d’un ancien de cette Alma mater, et bien cette fois-ci un nouveau feuilleton est lancé dans l’étonnement de l’opinion. Dans une décision administrative signée par le secrétaire général académique Arthur Yenga, près de 1.000 étudiants n’ayant pas payé la première tranche demandée par l’Académie ne seront plus les bienvenus.

Selon plusieurs sources, cette décision proviendrait directement du Directeur Général de cette institution, Jean-Richard Kambayi Bwatshia dont la gestion est très critique par tous depuis sa nomination. Effet, voulant rapidement répandre son odeur dans les sciages de l’Ifasic, l’ancien ministre retraité serait accusé de prises de décision imposante dans la violation même des textes. Il avait récemment effectué deux nominations polémiques par le biais du secrétaire général académique ; Celle de son ancien directeur de cabinet le professeur Tony Kanyinda et celle de la CT Patience Mashini.  Sans pour autant,  préciser, sans pour autant adresser un acte de  transfert conformément à l’article l’article 18 de la loi régissant le personnel de l’enseignement supérieur et universitaire et de la Recherche scientifique qui stipule que: << Tout recrutement est subordonné à la vacance d’un emploi budgétairement prévu et figurant au tableau des effectifs de chaque établissement ou service spécialisé de l’ESU…>>, pour ne citer que cette affaire là.

Par ailleurs, les certains étudiants concernés se sont rendus sur place (Ifasic) ce jeudi 21 juillet, pour manifester contre ces mesures, rapportent que des membres anonymes du comité de gestion de cet institut leur ont rassuré que cette décision a été rendu publique dans le but de faire pression aux étudiants litigieux

Total meli mélo de la part du comité de gestion. On aura tout vu

Bolangi ikoko tabura

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