Les extraits des concerts du groupe d’adoration Gaël, livrés à Paris la semaine dernière, alimentent les débats sur les réseaux sociaux. Ce groupe, créé par le chantre Alain Moloto, décédé il y a quelques années, est considéré par certains comme la véritable école d’adoration admirée à travers tout le continent. Gaël livre très rarement des concerts.
Sous la direction du pasteur Athoms, ce groupe, qui est, comme mentionné précédemment, une école d’adoration, a encore démontré ses qualités lors d’un culte qui a réveillé la mémoire de son créateur, Alain Moloto, suscitant diverses réactions en ligne allant dans le sens du soutien à ce groupe.
« J’ai toujours dit que quand il faut réellement adorer, la bonne adresse est connue. Gaël nous plonge dans la vraie adoration, où l’on se met en harmonie avec Dieu et où l’on élève son nom », note Anne, une internaute.
« J’ai des larmes aux yeux quand j’écoute Gaël. Papa Alain a fait un grand travail ; il a montré non seulement aux Congolais, mais à toute l’Afrique, comment adorer. Que son âme repose en paix », écrit pour sa part Emmanuel, depuis le Gabon.
« Nous attendons ce culte d’adoration au stade des Martyrs à Kinshasa. Nous irons ce jour-là pour une vraie adoration, et nous croyons qu’ils vont organiser un jour un grand rassemblement », mentionne Solange, habitante de Kinshasa.
« Je ne doute pas un seul instant que Papa Alain Moloto fait présentement partie des adorateurs du Créateur au Ciel. Son œuvre doit se poursuivre pour la gloire du Très-Haut », a écrit Olive, depuis la Côte d’Ivoire.
Pour rappel, le groupe Gaël provient du groupe « Adorons l’Éternel », créé par Alain Moloto, qui était un chantre gospel emblématique de la République Démocratique du Congo, connu pour ses textes sans pareils et émouvants qui touchaient le cœur de nombreux fidèles. Sa musique a transcendé les frontières et inspiré des générations entières.
Certains estiment qu’aucun autre artiste en RDC n’a su adorer l’Éternel par ses chansons comme Alain Moloto, ce qui fait de lui toute une école d’adoration.
Malheureusement, Alain Moloto nous a quittés il y a quelques années, laissant derrière lui un héritage musical riche et inspirant. Ses chansons continuent de résonner dans les églises et les communautés, et dans plusieurs pays d’Afrique. Moloto est cité comme un exemple parmi les chantres de la RDC.
À sa disparition, le groupe a été confié à Athoms Mbuma, qui est également pasteur de l’Église Philadelphie, dont le pasteur Roland Dalo est le visionnaire.
Jacques Amboka
