L’énigmatique vice-président de la chambre basse ne s’est pas pointé ce mardi au Palais du peuple où il devrait déposer sa démission comme d’aucuns s’y attendaient.
Jean-Marc Kabund a plutôt effectuer une visite à Waya Waya à Kingabwa où il effectue des travaux de construction d’un mini stade pour la population de cette partie de la capitale.
Le président a.i de l’Union pour la Démocratie et le Progrès social, entretien encore le suspense alors qu’au sein de son parti, les voix se lèvent pour lui pousser à la démission.
L’homme qui a donné à Félix Tshisekedi 24 heures pour retirer sa signature de l’accord de Genève, peut -il échapper à cette condamnation massive de la part de certains cadres du parti qui trouve par l’incident entretenu par JMK une occasion de clouer le dernier secrétaire général désigné par le Sphinx de Limete?
» Il en fait un peu trop, son orgueil et immaturité politique sont fatal pour le parti qui doit faire gagner à Félix Tshisekedi un second mandat en 2023 », note un membre du parti qui hésite pourtant à se déclarer ouvertement.
Dans le sillage du Chef de l’État, beaucoup sont aussi d’avis que JMK dépasse les bornes et même au cours de cette crise, il n’a pas garder le profil bas.
Selon les mêmes sources qui soutiennent que JMK aurait après plusieurs tentatives sans succès de joindre le Chef de l’État, a pu parler à la première Dame sous un ton pas courtois.
Démissionnera, démissionnera pas, le suspense est encore gardé entier.
La rédaction
