Si vous êtes en République démocratique du Congo et accros aux informations, vous entendrez certainement parler de la carence du carburant dans la partie Orientale du pays.

Depuis quelques semaines la population souffre. Le prix du carburant galope comme si l’on était dans une vente aux enchères .

À Kolwezi, par exemple, le prix d’un litre d’essence est désormais fixé à 2.5$. N’est-ce pas exorbitant ?

Néanmoins, les cris d’alarme de la population sont arrivés jusqu’aux oreilles des autorités qui, à travers, le ministre de l’Économie nationale, Jean-Marie Kalumba demandent aux pétroliers de garder leur sans froid.

« Nous demandons aux pétroliers d’être calmes, parce que le gouvernement s’est engagé à stabiliser leur secteur et dans 48 h on aura une nouvelle structure des prix et chacun va relancer ses activités », a annoncé Jean-Marie Kalumba.

La réponse du gouvernement attendue dans 48h ? Oui, si l’on s’attelle aux déclarations de Jean-Marie Kalumba.

« Ce sont des problèmes que l’on va régler. Dans 48h on va trouver une solution. Hier nous avons eu une réunion avec des opérateurs économiques de secteur pétrolier. Nous sommes en train de réajuster des structures du prix. Le problème que nous avons est celui du stock. Au Katanga, il n’y a pas de stock et c’est tout à fait justifié. Le problème de stock est lié à l’augmentation du prix moyen frontière», a ainsi déclaré le numéro un de l’économie nationale.

La hausse vertigineuse de prix de carburant est un coup dur pour la population, c’est un malheur. Le malheur ne vient jamais seul, dit-on, ainsi la hausse du pétrole induit une crise significative sur le transport en commun et d’autres activités économiques qui dépendent du carburant.

Tshokuta ben André

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