Constant Mutamba, Ministre d’État à la Justice, a affiché une opposition farouche envers des personnes homosexuelles. Ce combat s’avère difficile dans un monde en mutation, où l’évolution des mœurs peut parfois sembler mener à une dépravation des valeurs fondamentales. Dès sa prise de fonction, il s’est montré intransigeant, cherchant à ramener la société congolaise vers ses valeurs essentielles, celles où la famille est traditionnellement fondée sur l’union d’un père et d’une mère.
Cette attitude s’oppose aux cultures occidentales, en pleine évolution, qui promeuvent aujourd’hui l’enseignement de la culture transgenre. Dans certaines sociétés, on encourage les enfants à se sentir libres de choisir leur genre à l’âge adulte. En déclarant la guerre contre cette réalité, il est clair que Mutamba se tire une balle dans le pied face aux grandes puissances, qui n’hésitent plus à aborder cette question, bien qu’elle puisse sembler être en contradiction avec les valeurs africaines.
Cependant, lors de son discours d’investiture, l’ancien président devenu nouveau président des États-Unis, Donald Trump, n’a pas mâché ses mots sur cette épineuse question. “Il n’y aura pas trois genres. Aux États-Unis, nous ne reconnaissons que deux genres : l’homme et la femme”, a-t-il affirmé avec fermeté.
Cette position pourrait certainement réconforter le jeune ministre, parmi les plus appréciés du gouvernement. Bien qu’il ait parfois donné l’impression d’abandonner son combat, Constant Mutamba devrait s’inspirer de la plus grande puissance du monde, dont le leader vient de rappeler ce que les Africains doivent considérer comme des valeurs humaines fondamentales, remettant ainsi les pendules à l’heure.
Par cette position, Constant Mutamba trouve un véritable partenaire qui, d’une certaine manière, pourrait saluer son engagement envers ces valeurs que beaucoup considèrent comme inaliénables.
JAM