C’est un duo redoutable, Borris Johnson et Kagame qui met en exécution un projet macabre décrié par tous mais en vain. Comme dit-on, le chien aboie, la caravane passe. De l’Angleterre, ces deux-la vont renvoyer les migrants illégaux au Rwanda, une première.

Pour l’exécution de ce projet, qui va se réaliser par plusieurs rotation de Londres à Kigali, huit migrants seulement effectueront ce départ, un peu comme une déportation qu’ont connu les africains vers l’Amérique.

Sur la table, la Grande-Bretagne a mis à la disposition de Kigali une enveloppe de 144 millions d’euros pour soutenir le Rwanda dans l’exécution de cette déportation.

Une décision, qui va à l’encontre de la convention de Genève qui régit les droits des immigrés que torpillent les deux pays malgré les appels de plusieurs pays et même des Nations unies ou encore des organisations de la société civile anglaises.

Le sort de ces immigrés sera ainsi décidé au Rwanda. Et même leur demande d’asile est acceptée, ils ne retourneront plus en Grande-Bretagne.

Par cette mesure, le premier ministre anglais veut arrêter dans la mesure du possible la vague d’immigrés qui pour rien que 2022 en cours, plus de 10 mille ont déjà franchi les frontières anglaises.

Il faut noter que, le projet en cours d’exécution, est ressentie par beaucoup comme une menace pour les pays de la région et particulièrement la République démocratique du Congo. Quand on considère que, le Rwanda un petit pays qui est d’ailleurs en quête d’espace se lance dans un tel projet, et dans un contexte où les relations entre son voisin la RDC traversent actuellement et depuis des années des zones de turbulences, l’on peut donc redouter le pire dans les jours qui viennent.

D’aucuns fustigent encore le projet de Borris Johnson porté par Paul Kagame accusé de ne pas respecter les droits et libertés des personnes.

La rédaction

 

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