Soucieux du fléau climatique dont fait face la République démocratique du Congo, le Fonds pour les Femmes Congolaises (FFC), a pris part active à la marche organisée samedi 30 Octobre dernier dénommée « AGIR pour le climat ».
Dans une déclaration lue devant la presse par Flaura Libakale, assistante au programme du FFC, cette ONG signale que dans son programme de l’environnement et justice climatique, il a appuyé des projets des organisations et groupes des congolaises qui se rapportent aux questions du dérèglement climatique.
Cependant, le Fonds pour les Femmes Congolaises plaide auprès du gouvernement pour le renforcement d’appui à la production de données au niveau national le lien entre le genre et l’environnement et à leur utilisation dans l’orientation des politiques, renforcer les capacités d’engagement au processus des décisions liés à la transition vers une économie verte, mettre en application les différents accords régionaux et internationaux signés pour lutter contre le changement climatique.
Le FFC demande à la société civile d’organiser des actions qui impliqueront le genre dans la lutte contre le changement climatique car dit-il que les femmes sont les premières victimes du changement climatique, mener des plaidoyers ciblant toutes les populations et tous les genres pour lutter contre les normes de genre discrimitoire et les obstacles au leadership des femmes et filles pour la justice climatique.
Ainsi, le FFC invite la population congolaise de s’imposer de façon effective dans cette lutte pour que l’apport de chacun contribue à lutter contre le changement climatique.
Flaura Libakale a signalé dans sa déclaration que la marche “AGIR pour le climat” est une opportunité pour le FFC d’unir ses actions pour lutter contre les causes du changement climatique afin d’espérer un avenir meilleur et léguer une planète non polluée aux générations futures.
Yvette Ditshima
