Pour Nicolas Kazadi, ambassadeur itinérant du président de la République Félix Tshisekedi, le tollé général causé par la libération du directeur général de l’OVD Benjamin Wenga et celui de la Sococ Modeste Makabuza, n’avait pas sa place pour ceux qui connaissent les prérogatives d’un chef de l’État.

« Le chef de l’État pour votre information n’a pas à se justifier pourquoi il accorde grâce à quiconque», a rappelé Nicolas Kazadi avant d’ajouter ;

« il y a bien sûr un point sur lequel les gens se penchent pour dénoncer cela , c’est les condamnés pour détournement des fonds. Mais en réalité, les directeurs Wenga et Modeste ont rempli tous les critères. Là, les gens n’en parlent pas», précise l’ambassadeur itinérant du chef de l’État.

Par ailleurs, le collaborateur de Félix Tshisekedi a révélé que devant les Juges, Benjamin Wenga et Modeste Makabuza n’étaient que des receveurs de l’ordre et n’avaient qu’executé une injonction.

« Les juges ont démontré qu’ils n’ont fait qu’exécuter un ordre et avaient par ailleurs utilisé suffisamment leur moyen pour parfaire les projets des infrastructures leur confiés. C’est dans ce contexte que les juges ont estimé qu’ils étaient libérables», explique-t-il

«Cela ne peut en aucun cas remettre en cause le procès de 100Jours qui a boosté l’État de droit sous l’ère Tshisekedi. La seule et petite erreur fut le point relatif repris dans l’ordonnance qui disqualifie les condamnés pour détournement.Mais ce n’est pas la fin du monde et cela déjà lu ne pouvait pas être retiré» ,a conclu Nicolas Kazadi qui a pris part ce samedi 30 janvier à une conférence-débat organisée par le groupe de réflexion d’élites Tshisekedistes (GRET) sur les réalisations de Félix Tshisekedi deux ans après.

Faustin Kalenga

By 24news

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