Alors qu’ils voulaient se regrouper ce mercredi 22 décembre au rond point sakombi dans la commune de Kintambo, quelques membres du comité laïc de coordination se sont vus dispersés par la police nationale sur ordre de leur hiérarchie.

Ces membres se regroupaient pour exiger la suppression du RAM (registre des appareils mobiles), une taxe prélevée par l’état sur fond d’une contestation totale dans l’opinion.

Rappelons que la marche du CLC n’a pas été autorisée par l’hôtel de ville, qui a évoqué plusieurs contraintes sanitaires dues au nouveau variant du Covid-19.

Faustin Kalenga

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