Ils sont nombreux, ces angolais qui sollicitent le visa pour quitter le pays, cette terre qualifiée d’El Dorado pour beaucoup d’africains vers les années 2000 et 2015. La situation économique dégradante est à la base de cette situation que tous au pays qualifient d’alarmante.

À Ingombota, l’on peut bien apercevoir une file des angolais à la recherche de visa pour le Portugal et le Brésil, deux pays lusophones qui reçoivent déjà beaucoup de demandes.

L’Angola traverse une crise économique sans précédant, qui a occasionné la criminalité et la délinquance élevées. Les actes de violence se font souvent sous la menace d’armes à feu ou d’armes blanches et ont pour objectif principal le vol d’opportunité d’argent ou d’objets de valeur (téléphones portables en particulier).

Alors que jadis les angolais faisaient partie des africains qui ne rêvaient pas l’Occident, la situation actuelle ne leur donne le choix que d’immigrer.

D’aucuns fustigent la gestion de Joao Laurenco, le remplaçant de Do Santos qui serait versé dans la chasse aux sorcières avec comme proie la famille de son prédécesseur oubliant l’essentiel pour redresser le pays qui jadis avait en 2015 un budget de 66 milliards de dollars, pour se retrouver autour de 35 milliards en 2024.

La Rédaction 

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