De plus en plus des voix s’élèvent pour exiger la dissolution de l’Assemblée Nationale donnée pour élément détonateur de l’aggravation de la crise qui secoue le pays à travers la coalition au pouvoir FCC-CACH.

Si la radicale base de Félix Tshisekedi appuyée par certaines forces vives de la nation ne cessent de « chanter » au quotidien « rupture ,rupture » en référence au deal qui existerait entre Félix Tshisekedi et son successeur Joseph Kabila, et cela, par la dissolution des chambres du parlement , la crème scientifique s’invite dorénavant dans le débat au regard de différentes surprises que nous réserverait la rentrée parlementaire de ce mois de septembre.

Selon Alphonse Ntumba Luaba, la grosse erreur que Félix Tshisekedi commettrait est de laisser continuer la chambre basse du parlement jusqu’en 2023.

« Garder l’Assemblée nationale à 2023 serait fatale à la démocratie. Elle est la plus inefficace et querelleuse comme sa présidence », estime Ntumba Luaba.
Selon plusieurs analystes, cette rentrée parlementaire s’annonce décisive pour la survie ou non de la coalition au pouvoir en phase de voler en éclat.

La sortie médiatique du professeur Raphaël Nyabirungu contre les ordonnances de Félix Tshisekedi et dont les origines politiques sont connues en constitue une preuve éloquente. D’où faire montre de prudence pour le chef de l’État, comme le souhaite l’ancien ministre de la justice, serait de procéder à la dissolution du parlement cause des querelles politiques actuelles.

Faustin KALENGA 

By 24news

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