Le directeur de cabinet du chef de l’État, Vital Kemerhe semble jouer deux rôles. Non seulement qu’il est un prévenu, mais il se montre compétent et près à tout. Un Kamerhe sans complesant, ni complexé devant la cour qui ne jure que sur la vérité des faits. Au stade actuel, Vital Kamerhe est dans le bon.
Dans ses explications, le président de l’UNC semble bien maîtriser le dossier et en apporte plus d’éléments des preuves.
Il demande au tribunal de prouver qu’il a détourné plus de 40 millions de dollars Américains destinés au programme d’urgence du chef de l’État. Kamerhe veut savoir la cause de sa présence dans cette affaire.
Une question qui reste pendante, mais qui doit mériter des réponses au fur et à mesure que le procès évolue. Fin de l’audience publique.
La défense de Kamerhe a prouvé que son client n’est pas partie prenante au contrat, et continue à solliciter sa liberté provisoire.
JMW
