Le Pape François a communié avec la jeunesse de la RDC ce jeudi 02 février au stade des Martyrs de la Pentecôte. Un rendez vous important dans l’agenda du Saint-Père qui en bon berger a enseigné à cette jeunesse les vertus pour le développement du pays, de la communauté d’une part et l’épanouissement personnel de chacun.
Dans son enseignement, le numéro 1 de l’église catholique a fustigé la corruption, ce fléau qui a mis le pays à genoux et qui constitue un grand défi pour l’inspecteur général des finances.
Par cette stigmatisation, et devant des milliers des jeunes qui se sont donné rendez-vous au stade de martyrs et des millions d’autres qui ont suivi le Pape sur les ondes, l’on peut bien se dire que le chef de l’État du Vatican est en train de soutenir la lutte contre la corruption que mène l’IGF de Jules Alingete Key.
Ainsi, ce discours doit être par ailleurs une interpellation au Chef de l’État, le garant de la nation, lui qui a donné des ailes à l’IGF pour mener cette bataille et aussi à celui qui applique cette volonté à savoir Jules Alingete Key pour redoubler d’efforts et atteindre au plus vite les objectifs d’éradiquer la corruption et le détournement en République démocratique du Congo.
L’on ne doit pas se voiler la face, l’on a détourné et l’on détourne encore et si l’IGF n’a pas été là, le pire arriverait déjà.
Ainsi, par ce message du Pape François arrivé à Kinshasa le 31 janvier dernier pour un séjour de 4 jours, Jules Alingete Key doit une fois de plus jauger le rôle central que son institution joue pour le redressement du pays qui a, pendant des années vécu la corruption sans que des mesures idoines soient appliquées pour y mettre fin.
Avec le travail qu’abat l’IGF aujourd’hui, loin de dire qu’on y est arrivé, l’on peut toutefois dire que un travail de titan est en train de se faire et qui nécessite l’accompagnement de tous. C’est un accompagnement comme observé au Stade des martyrs ce jeudi où tous ont dit NON à la corruption que l’IGF a besoin pour justement gagner ce pari.
La rédaction
