Si l’on vous dit que Félix Tshisekedi en tant que belgicain n’avait jamais formulé les démarches pour acquérir la nationalité Belge, c’est faux. Si l’on vous affirme que Félix Tshisekedi n’a jamais regretté qu’on lui refuse à plusieurs fois la nationalité de son pays de résidence, ce serait encore un mensonge de plus.

Les Belges se sont montrés très méchants de refuser la nationalité au fils du plus grand opposant de l’histoire de la RDC, alors que certains de ses frères n’ont pas assez souffert pour avoir une autre nationalité.

Généralement, les familles des opposants africains ne souffrent pas trop pour avoir des papiers, quand on sait que dans leurs dossiers de demande des papiers ou d’exilés politiques, ils n’ont aucune raison de mentir. Les dangers qu’ils courent dans leurs pays vis-à-vis de certains régimes dictatoriaux sont réels.

Cependant, Félix Tshisekedi hélas, n’a pas eu cette chance malgré son envie de devenir citoyen belge. Dans son envie de détenir un passeport belge à côté du zaïrois puis congolais, Félix Tshisekedi ne savait pas que le destin, rien que le destin tel que dicté par le créateur ne pouvait lui laisser avoir une autre nationalité que celle de son pays d’origine, car il a été inscrit parmi ceux qui sont prédestinés à diriger la République démocratique du Congo.

Avoir les ambitions de devenir Président d’un pays si grand et surtout quand on est fils d’un leader politique à la carrure du leader Maximo, l’on peut rêver devenir Ministre, Premier Ministre peut-être, mais rêver la magistrature suprême devrait être rêver débout et d’aucuns estiment que Fatshi n’y pensait pas non plus.

Cependant, à la disparition de son père, ceux qui savent lire la ligne de temps avaient déjà vu une étoile capable de tout.

Alors que la majorité de la population voyait déjà un Tshisekedi au palais de la nation, Genève qui devrait lui ouvrir largement la voie pour ce fauteuil, lui a plutôt barré la route. Une très grosse erreur, car les leaders politiques réunis en Genève ont tout simplement tenté de faire obstruction à l’écriture du destin, une peine perdue.

À quelque chose malheur est bon.

 

La rédaction

 

×

Hello!

Click one of our contacts below to chat on WhatsApp

× Contactez-nous