2023 et 2024 se présentent comme les années électorales dans plusieurs États africains, par exemple, la RDC, le Sénégal, la Côte d’Ivoire, le Burundi…
Ce jeudi 28 décembre, le conseil constitutionnel (CCS) sénégalais a réceptionné 79 candidatures pour les élections présidentielles qui se tiendront le 25 février 2024 sur toute l’étendue du territoire Sénégalais.
Dans une interview accordée à 24 NEWS AGENCY, Souleymane Thiam, journaliste sénégalais affirme qu’hormis ces candidatures qui sont jusqu’alors reçues au Conseil Constitutionnel, organe chargé de l’organisation des élections, tout porte à croire que d’autres hommes politiques, continuent à se dire prêts à s’ajouter à cette liste exhaustive pour la course présidentielle.
79 candidats pour seulement une seule place, rire ou pleurer ?*
Ce nombre de candidatures fait sûrement objet d’une problématique et débat. Pour certains africains, c’est démocratique pour chaque personne d’exprimer ses droits politiques d’où, c’est normal d’aller même au delà de 70. Alors que d’autres estiment que la présidentielle, n’est pas la seule place où l’on peut envisager de libérer un peuple de la misère.
La campagne électorale débute le 05 janvier 2024 au Sénégal, pendant ce temps, les congolais attentent les résultats provisoires de la commission électorale nationale indépendante (CENI) ce 31 décembre. Au total, 26 candidats présidents ont participé à cette élection.
Roger Kabengele/correspondant
