Kisangani ville réputée hospitalière avec une population très compatissante pendant les cérémonies funèbres. Cependant, avec la covid-19, les boyomais se sentent aujourd’hui limités par les mesures de confinement initiées par le président de la république.

La population boyomaise ne sait plus organiser comme dans le passé les obsèques de leurs proches.

Par peur de la Police ainsi que l’ANR, les derniers hommages sont rendu à la morgue, messes de requiems ,oraisons funèbres ,dépôt de gerbes de fleur, témoignages des proches en un temps très bref, baissant ainsi les rites coutumiers.

Ainsi covid-19 vient changer donc, les us et coutumes. Ces contraintes divisent la population car certains estiment que certains comportements inhérents aux obsèques doivent être abandonnés alors que d’autres soutiennent que l’on ne peut changer notre culture à cause de cette pandémie.

Annie Bosuandole depuis Kisangani

By 24news

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