Il y a quelques temps, la Société nationale d’électricité, Snel évoquait le problème d’etiallage, un concept qui voudrait dire que la quantité de l’eau était en diminution avec comme conséquence difficultés de faire tourner comme il se doit les machines à Inga. Avec ce Dieu qui ne dort pas, la saison de pluie est arrivée. Impossible pour la Snel de parler d’etiallage.

Elle parlerait maintenant d’une machine en panne. Ce qui justifierait la situation dans laquelle sont plongés plusieurs abonnés de la Snel qui connaissent des coupures au quotidien.

Si l’on voudrait bien croire aux thèses présentées par la société nationale d’électricité, l’on restera stupéfait quand on échange avec la plupart de ces jeunes dits journaliers qui travaillent depuis des années sans être engagés et qui tiennent une part importante dans cet exercice de distribution d’électricité.

 » vieux, panne eza te. Chef ayebisaka biso bokende kokata, bozongisa.  » entendez par là, il n’y a pas de panne, le chef nous donne des ordres d’aller couper et rétablir selon ses humeurs.

Des propos qui inquiètent et qui suscitent des interrogations et surtout dans ce contexte aussi tendu que traverse le pays victime d’une agression.

Pour bon nombre d’observateurs, les autorités doivent ouvrir l’œil pour exercer une pression à cette société dont les services sont qualifiés de piètres depuis des années.

La Snel fait-elle partie des comploteurs de la République ? Une question qui peut bien se poser dans le contexte actuel.

À suivre…..

 

Bolangi Ikokota Bura

 

×

Hello!

Click one of our contacts below to chat on WhatsApp

× Contactez-nous