La pression est grande sur le nouveau premier ministre et le Chef de l’État est appelé à bien partager le gâteau aux partis en présence au sein de l’Union sacrée.
Ainsi, le gouvernement attendu bien que ne vas pas avoir plus de soixante portefeuilles, il ne sera pas non plus à la taille réduite comme le premier ministre l’aura déclaré le jour de sa nomination.
La taille d’une équipe considérée efficace, réduite qui doit bien entendu épargner certaines dépenses à l’état congolais, serait autour de 30.
Pour un pays comme la RDC, c’est bien compréhensible si l’on pouvait peut être aller à 35.
Mais le nouveau premier ministre, tablait autour de 45, ce que l’on pouvait aussi bien comprendre. Hélas, selon les informations à notre possession, l’on ira au-delà de 45.
Pour les analystes, le gouvernement de l’Union sacrée risque de tomber dans la routine déjà connue et qui en réalité ne prend pas à bras le corps les réels soucis de la population.
Félix Tshisekedi qui joue sa carte doit s’imposer et orienter les choses ,car celui qui sera responsable devant le peuple en 2023 , étant donné que c’est lui le chef de l’État.
La Rédaction
