Quand on annonce à la télévision nationale, à la suite d’une série d’ordonnances signées par le Chef de l’État, le nom de François Kabulo Mwana Kabulo comme ministre des sports, beaucoup se sont dit :  » ça y est, l’homme peut bien changer les choses car il s’y connait « .

Cependant, les premières actions de grandes envergures dont l’annonce du tournoi Fatshi Cup, créé un peu de déception au sein de l’opinion .

 » Une compétition qui porte le sobriquet du Chef de l’État, c’est une bonne chose. Cependant, lancer une telle compétition au moment où le championnat national est en arrêt faute des moyens, je dois être sincère envers moi-même, bien que vrai fatshiste, je n’apprécie pas », nous laisse un grand dans le cercle du Chef de l’État qui nous lance par la suite,  » ce ne sont pas des propos à rapporter à la presse ou le cas échéant à citer mon nom », martèle ce collaborateur du chef qui tient à son anonymat.

Ce vieux routier de la presse connu par son talent à la télévision nationale congolaise mais aussi à la RFI et à d’autres médias pendant les grandes compétitions africaines est, par le choix de la dénomination de ce championnat qui serait soutenu par la FIFA, tombé un peu bas que le niveau lui reconnu par tous.

Dans plusieurs médias de la place, on fustige cette initiative de Kabulo qui, contrairement à ce que d’aucuns peuvent penser, n’est pas poussée par la présidence de la République. Kabulo se dit tout simplement que par cette façon de voir les choses, il peut rapidement occuper une place de choix dans les couloirs de la Cité de l’Union Africaine. Faux et surtout pas pendant cette période préélectorale où le Chef a plus besoin des résultats que des propagandes stériles.

Quand on revoit et suit les attaques et critiques formulées par ce grand journaliste du monde sportif congolais, et le voir commencer par une initiative du genre, le doute s’installe déjà dans les esprits des congolais qui attendaient plus de François .

Bolangi

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