L’occupation de la cité de Bunangana dans la province du Nord-Kivu totalise ce mercredi 21 septembre 100 jours. C’est donc un des objectifs atteints des Nations-Unies et la communauté internationale, celui de maintenir ce géant pays dans un état de faiblesse absolue.

Les 100 jours d’occupation de la cité de Bunangana, tombe 3 jours avant les fracassantes déclarations du secrétaire général de l’ONU, Antonio Guteres qui devant la presse française a lâché le morceau, reconnaissant la superpuissance du M23 devant même les forces onusiennes en tourisme depuis plus de deux décennies en République démocratique du Congo.

En affirmant devant la presse que le M23 est à ce jour une armée moderne, avec des équipements lourds qui sont plus perfectionnés que les équipements de la Monusco.

Le numéro 1 des Nations-Unies fait un aveux d’échec qui en réalité n’est qu’une attitude normale d’une organisation qui veut maintenir un de ses pays membres à genoux.

Face à la complexité de la situation, il appartient d’abord aux congolais d’ouvrir l’oeil et se mobiliser pour faire face à cet ennemi puissant qui se réjouit dans le pillage des richesses de ce géant à qui la providence n’a rien refusé en terme de richesses.

Cependant, les divisions entre les congolais qui par ailleurs participent à la consolidation de cette situation est loin d’être une réponse pouvant mettre terme à l’occupation qui perdure depuis plus de deux décennies.

Aux yeux de tous, le Rwanda, un pays dont la population a vécu et vit d’ailleurs en bonne relation avec les congolais, ce peuple le plus hospitalier du monde, n’est en temps normal capable d’engager une guerre contre la RDC. Il faut être dupe pour croire à cette possibilité. Ainsi, les observateurs, les plus avérés peuvent se rendre compte que derrière le Rwanda voisin, se trouve justement ces grandes puissances qui agissent pour semer les troubles dans la partie est de la RDC.

 

Bolangi Ikokota Bura

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