Encore et encore, on continue à détourner en République démocratique du Congo. Et c’est un challenge entre les detourneurs, car détourner 100.000, 200.000 dollars fait du détourneur ce que les congolais appellent Yuma, un homme sans esprit.
Pour être respecté , vous devez aller au delà de 10 millions, C’est alors que l’on doit être salué et apprécié, un monde d’aberration qui veut à tout prix maintenir la population dans la misère.
Et c’est dans ce contexte que, l’on doit considérer Jules Alingete Key, le gendarme financier congolais d’un homme triste car les efforts que fournis l’inspection générale des finances devraient taire définitivement les detourneurs et corrompus de la République.
Alingete doit, avec son équipe, être triste en apprenant encore que malgré le travail qu’ils abattent, il existe encore des dirigeants véreux qui sont déterminés à non seulement tirer le pays vers le bas , mais précipiter l’échec du Chef de l’État.
Plus de 100 millions de dollars détournés dans le projet Tshilejelu au Kasaï, c’est le dernier détournement dévoilé en République démocratique du Congo.
Et quand ces représentants du diable en République démocratique du Congo détournent , L’on ne crie pas à l’acharnement politique , c’est quand les projecteurs de l’IGF seront braqués sur eux, que l’on parlera de la haine de Jules Alingete et son institution contre x ou y, on payera la presse pour s’attaquer au travail de l’inspection générale des finances et ce sans la moindre honte.
» c’est le diable en personne qui détourne » note le gendarme financier congolais.
Les detourneurs des fonds de l’État pensaient-ils que 2022 terminé, c’était aussi la fin de la lutte contre la corruption ? Non, pour Jules Alingete Key, en 2023 la lutte contre le détournement des deniers publics à travers la patrouille financière s’intensifie et elle ne s’arrêtera pas.
Face à la prédation, face à cette race qui ne vise que leurs intérêts, la population doit se mobiliser et s’approprier ce combat contre la corruption initié par Félix Tshisekedi Président de la République qui a vu juste en plaçant Jules Alingete Key à la tête de l’IGF.
Jacques Amboka
