La ville de Kinshasa s’est réveillée ce lundi 4 april matin dans une panique occasionnée par la pénurie des carburants.

Différentes stations ont fermé attendant un compromis avec le gouvernement de la République sur une éventuelle hausse de prix comme exigé par les différents opérateurs économiques dans le secteur au cours de la réunion jeudi 31 mars dernier avec le ministre des hydrocarbures.

Selon plusieurs sources, un litre d’essence pourrait passer de 2095 à 3000FC. Une hausse vertigineuse justifiée cependant par la guerre entre l’Ukraine et la Russie qui sont de grands pays producteurs du pétrole.

Le transport en commun sur l’ensemble de la ville à Kinshasa est devenu un casse-tête. Des chauffeurs de taxi et des bus se sont par ailleurs donnés le luxe de doubler le prix du travail qui se négocie à 1500 voire 2000 pour le tronçon magasin Kintambo et le centre ville de la Gombe.

Faustin Kalenga

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