L’ancienne ministre des droits humains, la députée dont le mandat à été retiré par le président de la chambre basse du parlement, n’entend pas quitter sa famille politique à savoir le Front commun pour le Congo.

Marie-Ange Mushobekwa qui estime qu’elle a été écarté du parlement avec objectif de la museler, se dit être victime d’une campagne de dénigrement après avoir donné sa position contre la proposition de la loi Tiani qui veut voir à la course pour la présidentielle que les congolais de père et de mère.

 » Je suis et reste membre du bureau politique du FCC sous le leadership du président Joseph Kabila » soutient cette ancienne de l’Isti-Ifasic devenue ministre des droits humains sous le gouvernement Bruno Tshibala.

Dans un contexte où beaucoup de cette famille politique créée par Joseph Kabila en 2016 ont traversé pour rejoindre l’Union Sacrée la coalition autour du Chef de l’État Félix Tshisekedi, Marie-Ange Mushobekwa se reconnaît encore en son autorité morale et soutient, contrairement à ce qui se raconte, que Joseph Kabila n’a pas su tout coupé pont avec les siens.

 » Il est en contact avec le 3/4 des membres du bureau politique, parle avec nous et reçoit si nécessaire » a déclaré ce membre du bureau politique du Front Commun pour le Congo.

 » Bien droite dans mes escarpins, je poursuis la résistance. Aucun contact avec un autre leader politique en vue d’une quelconque alliance  » a déclaré à 24 News Agency Marie-Ange Mushobekwa.

Jacques Amboka

 

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