Croire que le combat initié par Félix Tshisekedi contre la corruption via l’inspection générale des finances enchante tout les congolais, c’est tout simplement être naïf et croire à une bonne volonté des fossoyeurs qui ont mis ce pays à genoux.

Invité à la conférence sur l’investissement qui se tient à Houston-Texas aux Etats Unis du 26 au 28 avril, l’Inspecteur Général chef de service, de l’IGF, Jules Alingete s’est exprimé devant les investisseurs américains le 26 avril.

Le gendarme financier congolais s’est exprimé sur une thématique qui cadre avec le rôle que joue avec brio son institution.

Jules Alingete a intervenu sur le thème  » les avancées de la lutte contre la corruption et le détournement des deniers publics et le climat des affaires en République démocratique du Congo ».

L’inspecteur général chef de service qui a toujours, à l’instar de tout compatriote compati à la souffrance de la population de l’Est du pays victime des violences terroristes perpétrées par des groupes armés depuis plus de deux décennies, a par ailleurs souligner en guise d’invitation aux investisseurs que la RDC est un pays fréquentable où il faut venir investir au vu des avancées réalisées sur la lutte contre la corruption et l’amélioration du climat des affaires.

Les propos de Jules Alingete ont ainsi enflammé les réseaux sociaux.

Une instrumentalisation de ceux qui en réalité éprouvent une haine singulière non seulement à l’égard de ce compatriote, mais aussi de l’ensemble de cette institution objet d’insomnie de beaucoup de fossoyeurs.

Si ces propos n’ont pas été bien assimilés, l’on peut donc dire que, le communiqué de la cellule de communication publié le mercredi soir, devrait alors apaisé les esprits du fait que tout a été remis dans son contexte pour une compréhension de tous.

Si vanter et vendre une bonne image de son pays pour stimuler les investisseurs à venir dans un pays avec autant d’opportunités est un crime, alors, Jules Alingete mérite donc cette croix bien préparée par ceux qui s’en prennent à sa personne alors qu’en réalité, ils se rangent par leurs actes macabres à maintenir la population congolaise dans la pauvreté.

 » Nous savons lire les signes du temps, nous pouvons aujourd’hui distinguer les vrais des faux, les bons des mauvais, les meilleurs des pires. L’on voudrait faire taire le gendarme financier du pays, l’on voudrait arrêter l’élan de la lutte contre la corruption un pilier incontournable du régime Tshisekedi. Nous devons donc rester très vigilant » ,a déclaré Jean Esanga Mawuya, étudiant à l’université de Kinshasa.

 

La Rédaction

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