Félix Tshisekedi n’est pas entouré que de ceux qui lui sont fidèles. Des corrompus, cupides et avides se trouvent bien entendu dans le sillage du premier citoyen.Si la question est souvent évoquée par la population sans preuves concrètes, les dernières arrestations à la présidence en sont des illustrations.

Quand le président de la République accueille un invité pour une audience secrète avec au menu la situation sécuritaire dans l’Est du pays, et que les photos parviennent à Kagame alors que l’invité n’a même pas encore quitté le palais présidentiel, ça craint la haute trahison.

Et dans ce contexte, beaucoup peuvent se poser des questions sur l’existence de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, parti présidentiel. L’UDPS qui faisait trembler le pays, particulièrement la capitale au début de la mandature de Tshisekedi à la présidence de la République.

L’on se rappelle tous des mobilisations populaires, avec l’UDPS à la gâchette, pour contrer les propositions des lois Minaku et Sakata à l’Assemblée Nationale ; la lutte menée pour déclencher le divorce FCC-CACH, pour ne citer que ces récents événements. Le parti au pouvoir s’est toujours montré présent aux côté de Tshisekedi.

Actuellement, face à toutes les tractations des corrompus au niveau de la présidence de la République qui profitent à Kagame, l’Udps est tout simplement inexistante. Le parti dirigé par Augustin Kabuya qui serait lui-même destitué par Wankenda, ne se fait pas sentir.

Le parti présidentiel laisse le fils du Sphinx de Limete seul contre tous dans cette guerre, au moment où ce dernier a le plus besoin de la base ?
Votre avis est attendu aux commentaires …

La Rédaction

 

×

Hello!

Click one of our contacts below to chat on WhatsApp

× Contactez-nous