La réglementation et la tarification du transport en commun à Kinshasa ont toujours été des véritables problèmes pour les Kinois. On ne sait vraiment pas qui est censé le réglementer et en fixer les tarifs ; il suffit d’une petite pluie pour voir le tarif prendre de l’acenseur.

Non seulement on assiste à la hausse de prix, mais aussi à un surnombre des passagers dans un transport. A titre d’exemple, le tronçon qui relie kingabwa à Rond-point victoire qui coûte généralement 500 francs congolais, sous une petite pluie coûte 1000 francs congolais et 6 passagers au lieu de 4.

Déterminée à atteindre leur lieu de travail à temps, la population n’a pas de choix que d’accepter ces conditions.

 » Que faire si on accepte pas cette condition , on est censé arriver tard au lieu de service  » , nous dit un passager sur ce tronçon .

Pour un autre passager, ce désordre vient du fait que l’Etat n’a pas ses propres moyens de transport.

 

 » Si l’Etat avait ses propres bus, on assisterait pas à cette loi nous imposée par les Taximen « , a ajouté un autre.

Au regard de cette situation qui bouleverse le budget de la population, la seule question que se posent les kinois est celle de savoir que fait le Ministre provincial en charge du Budget, Transport et voies de communication, Mbokosso Amous Kempay Honoré, lui qui est censé réglementer le transport dans la ville province de Kinshasa ?

Personne n’est disposée à répondre à cette question des kinois si ce n’est Mbokosso Amous Kempay, Ministre provincial en charge du transport .

Zephy Pengume

×

Hello!

Click one of our contacts below to chat on WhatsApp

× Contactez-nous