Située sur la 10e rue, Limete industriel, l’Ecole Chrétienne le Rocher qui a ouvert ses portes pour l’année 2021-2022 comme prévue le 04 octobre, est un établissement qui en trois années d’existence, veut s’imposer. Avec une formation qui force l’admiration des parents, ici on lie la connaissance scientifique à la parole de Dieu pour une formation plus complète.
» la particularité de notre école c’est d’abord le programme que nous avons mis en place, c’est un programme mixte. Nous avons un programme national mais il est renforcé par des outils didactiques importés. La deuxième c’est par rapport à la dénomination. C’est l’école chrétienne le rocher. Ça veut dire que nous ne transmettons pas seulement les connaissances scientifiques aux enfants,mais ce savoir est basé sur la parole de Dieu. Une manière de montrer aux enfants qu’avant toute chose, réussite et progrès c’est en Jésus-Christ. Troisième particularité,c’est que nous sommes une école inclusive qui ne discrimine pas les enfants. Nous accueillons tous les enfants et tenons compte du besoin spécifique de chaque enfant » a déclaré Albert Lubamba, directeur de cette école.
Dans un contexte de la modernité et de l’évolution technologique auquel est soumis le monde à ce jour, placer son enfant dans une école avec équipement adéquat, est le souhait de tous les parents. À l’école chrétienne le Rocher, cet aspect fait bien partie des préoccupations , comme l’a souligné monsieur Luc Allouma, promoteur de cet établissement scolaire.
» Les infrastructures et support scolaire sont d’une importance capitale à la formation d’élèves. Une école doit obéir à une architecture, une école obéit à un certain packagé de présentation. Notamment les salles doivent être bien aérées, il faut tenir compte aussi de la population scolaire. Ici on ne peut pas avoir une salle de classe avec plus de 20 élèves, et la sécurité des élèves est une des priorités ».
Pour le promoteur de l’Ecole Chrétienne le Rocher, la vision est de faire de cet établissement le meilleur du pays toute en élargissant le cycle pour avoir le secondaire, pourquoi pas à la logue l’université.
Sarah Kayeye
