Celui que les angolais appelaient à un certain moment » o arquitecto da paz » entendez par là l’architecte de la paix est dans une situation critique dans un hôpital en Espagne. Eduardo do Santos est gravement malade affirment plusieurs sources.
Bien que les enfants, notamment sa fille Tchize tente de rassurer disant que l’état de son père est stable, plusieurs sources affirment qu’il serait entre la vie et la mort.
Dans cette situation, le torchon brûle entre le successeur de Do Santos et les enfants. Les relations entre les deux personnalités n’ont pas été au bon fixe depuis l’avènement de l’ancien ministre de la défense à la magistrature suprême.
Joao Laurenço, de la compréhension de beaucoup au sein du Camp de l’ancien Chef de l’État, a trahi celui qui l’a désigné comme successeur.
De la confiscation des biens des enfants notamment de la fille aînée Isabelle do Santos la veuve de Sindika Dokolo, en passant par l’arrestation de l’un des fils pendant plusieurs mois pour détournement, sans citer les poursuites de plusieurs proches collaborateurs de l’ancien Président. Tous les ingrédients ont donc été mis pour que les relations entre Eduardo et Joao ne soient pas bonnes.
Cependant, dans cette situation, Joao Laurenço semble vouloir se rattraper en s’impliquant dans la prise en charge de soin de celui qui lui a cédé le pouvoir. Malheureusement, il a rencontré une opposition farouche des enfants qui ont voulu garder tout dans le Secret familiale.
Mais aux dernières nouvelles, les autorités angolaises ont donc réussi à s’imposer devant la famille. Le gouvernement prend en charge l’ensemble de coût de l’hospitalisation du président Eduard Do Santos. Dans son compte tweeter, Joao Laurenço a noté que l’état du président Eduardo do Santos est préoccupante.
Notons par ailleurs que, l’Angola qui se prépare pour les élections générales au mois d’août compte dans ce challenge deux grandes formations politiques qui vont se disputer à savoir le MPLA au pouvoir, qui est aussi divisé entre les pro Eduardo Do Santos et Joao Laurenco et l’UNITA le parti de Jonas Savimbi qui serait l’alternance, selon les analystes au cas où les élections seraient transparentes et démocratiques.
La rédaction
