Le chef de l’État Félix-Antoine Tshisekedi a reçu le dimanche 12 septembre à la cité de l’OUA l’artiste cinéaste Belge Jean-Claude VAN DAME.
Le menu de leurs échanges n’a pas fuiter aux médias, cependant les rapports culturels et la modernisation du cinéma congolais sont les points estimés susceptibles d’être traités par le président aux côtés de l’homme fort du cinéma.
Jean-Claude Van Vaerenbergh est né le 18 octobre 1960 à Berchem-Sainte-Agathe, une commune de Bruxelles, en Belgique. Il est le fils d’Eugène et d’Éliana Van Vaerenbergh.
Il se lance dans les arts martiaux à l’âge de dix ans au sein d’une école de karaté. Son style de combat se compose de karaté Shotokan et de kickboxing. Il parvient à obtenir sa ceinture noire en karaté. Il se lance ensuite dans le bodybuilding, désireux de développer sa musculature, ce qui lui vaut par la suite le titre de Mr. Belgium en bodybuilding.
À l’âge de seize ans, il arrête la danse classique qu’il a pratiquée pendant cinq ans. Selon lui, la danse classique « est un art, mais c’est aussi l’un des sports les plus difficiles. Si vous pouvez survivre à un entraînement de danse classique, vous pouvez survivre à l’entraînement de n’importe quel autre sport ».
Qu’est-ce que le Congo peut bien bénéficier de la rencontre du président avec Van DAME ? Les internautes s’interrogent.
Daniel Muhindo
