Le gouvernement de la République du Congo et le groupe de la Banque mondiale ont procédé au lancement du Projet d’accélération de la transformation numérique ce mardi 24 janvier 2023 à Brazzaville, financé par l’institution de Bretton Woods à hauteur de dix millions de dollars.

Ce projet qui court sur cinq ans vise à accroître l’accès des populations mal desservies à l’internet haut débit et à améliorer la capacité du gouvernement à fournir des services publics adaptés au numérique en République du Congo.

Le Projet d’accélération de la transformation numérique vise à accroître l’accès à l’internet haut débit en faveur des populations des zones non connectées et d’améliorer la capacité du gouvernement à fournir des services publics adaptés au numérique. Cette opération qui durera cinq ans se réalisera en trois dimensions avec le concours du secteur privé.

D’abord, il va œuvrer à l’évolution de l’environnement réglementaire et juridique et qu’il s’adapte aux rapides changements technologiques et aux enjeux du secteur numérique.

Ensuite, en améliorant l’inclusion et la connectivité numérique dans les zones non desservies pour réduire les disparités de couverture géographique, d’accès, d’utilisation d’internet et d’adoption des services numérique.

Le gouvernement de la République du Congo et le groupe de la Banque mondiale ont procédé au lancement du Projet d’accélération de la transformation numérique ce mardi 24 janvier 2023 à Brazzaville, financé par l’institution de Bretton Woods à hauteur de Dix millions de dollars. Ce projet qui court sur cinq ans vise à accroître l’accès des populations mal desservies à l’internet haut débit et à améliorer la capacité du gouvernement à fournir des services publics adaptés au numérique en République du Congo.

Le Projet d’accélération de la transformation numérique vise à accroître l’accès à l’internet haut débit en faveur des populations des zones non connectées, et d’améliorer la capacité du gouvernement à fournir des services publics adaptés au numérique. Cette opération qui durera cinq ans se réalisera en trois dimensions avec le concours du secteur privé.

D’abord, il va œuvrer à l’évolution de l’environnement réglementaire et juridique et qu’il s’adapte aux rapides changements technologiques et aux enjeux du secteur numérique. Ensuite, en améliorant l’inclusion et la connectivité numérique dans les zones non desservies pour réduire les disparités de couverture géographique, d’accès, d’utilisation d’internet et d’adoption des services numériques.

Enfin, dans sa composante la plus complexe, le Projet d’accélération de la transformation numérique aidera à développer et à fournir aux citoyens et aux entreprises des services publics numériques à travers un portail gouvernemental, et à moderniser les institutions publiques motrices du e-gouvernement pour la fourniture de leurs services en ligne aux personnes, aux petites et moyennes entreprises et au secteur privé. Aussi, cette composante va permettre le développement de plusieurs systèmes d’information critiques pour les secteurs du plan et des statistiques nationales pour la poste, l’éducation, l’état civil, la justice et autres secteurs et partenaires.

« Le lancement du Projet d’accélération de la transformation numérique constitue une étape cruciale de l’implication continue de la Banque mondiale dans la transformation numérique en République du Congo ; implication manifestée dans le passé par le financement du projet CAB3 et la réalisation d’un diagnostic de l’économie numérique en République du Congo. Ainsi, en conjonction d’efforts notables consentis depuis une dizaine d’années dans les infrastructures numériques que ce soit par le gouvernement à travers le Projet de couverture nationale (PCN) ou avec les partenaires au développement dans le cadre du Projet Central african backbone (CAB) « , a déclaré
Franz R. Drees-Gross ,directeur régional infrastructure de la Banque mondiale.

La Banque mondiale a injecté cent millions de dollars (environ soixante milliards de francs CFA) dans le Projet d’accélération de la transformation numérique afin d’aider la République du Congo à répondre aux besoins urgents de développement socioéconomique, en acceptant de défier la fracture numérique, la pauvreté et les disparités sociales.

Le projet comporte six groupes de travail technique regroupés au sein du Comité technique pour accompagner la mise en œuvre des activités et orienter les décisions du comité de pilotage sur les questions techniques. Les différents groupes de travail sont les suivants : le cadre juridique, les compétences numériques, l’internet haut débit, la cyber sécurité, les services numériques, l’état civil et l’identification.

Léon Juste IBOMBO Ministre des postes et télécommunications et de l’économie numérique trouve par ce geste de la Banque Mondiale, une volonté d’accompagner le Congo vers le développement de son économie numérique.

« En raison donc de la transversalité de notre secteur, le projet dédié couvre les secteurs importants suivants : les télécommunications, les postes, l’économie, l’entreprenariat, la santé, l’éducation, l’administration publique, la justice, l’état civil, etc…Aux yeux des contemporains, cette pose de colonne de Transformation numérique du Congo, avec l’appui de la Banque mondiale restera le symbole encore plus fort de votre traduction concrète d’arrimer le Congo au développement de l’économie numérique.», a souligné le ministre de poste et télécommunications et développement numérique.

L’arrimage du Congo au développement de l’économie numérique a été exprimé en inscrivant ce secteur parmi les six piliers du Programme national de développement 2022-2026. Notons que le pays continue de façonner son paysage en se dotant des instruments et dispositifs numériques dont les plus remarquables ne demeurent guère méconnus.

Il s’agit entre autres, de la mise en œuvre de la stratégie nationale de développement de l’économie numérique, Congo vision digital 2025 ; du Fonds d’accès pour le service universel des communications électroniques ; du Centre africain de recherche en intelligence artificielle avec l’appui de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique, hébergé au sein de l’université Denis SASSOU NGUESSO.

Solange Geandja
Correspondante

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