Ceux qui pensent que les morts ne sont pas morts n’ont pas totalement tort. Le Sphinx, le charismatique Tshisekedi, d’heureuse mémoire, était avec le fils à sa prise de parole à la tribune des Nations-Unies mardi 20 septembre à New-York.

Le président de la République Démocratique du Congo, sans ambage détour, a tout dit de la situation de son pays avec un accent sur le rôle déstabilisateur du voisin Paul Kagame dans la région.

Un discours salué par tous dans son ensemble, bien que, la démocratie l’oblige, certains ne l’apprécient pas de cette façon.

Ce discours va et doit bouger les lignes et pourra peut-être ouvrir les voies pour une solution tout en reconnaissant par ailleurs que la solution passe par un sole mot, aux les grandes puissances et à Paul Kagame.

Il faudrait observer la situation au front ces jours pour se faire une idée des retombées de ce discours qui a d’ailleurs contraint le président français Emmanuel Macron a initier une tripartite en marge de l’Assemblée générale entre Paul Kagame, Félix Tshisekedi et lui même.

D’aucuns s’usent d’ailleurs que, accepter de parler avec le président Congolais qui ne l’a pas du tout épargné dans son discours, voudrait tout simplement dire que le discours de Tshisekedi a convaincu tout le monde et même Paul Kagame.

Tshisekedi est parti pour l’au-delà, Tshisekedi est au pouvoir et il a parlé et convaincu le monde du haut de la tribune des Nations-Unies.

 

La rédaction

 

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